Dragon Ball, un classique

C’est une grande victoire pour tous les geeks aimant les mangas, une petite vengeance même pourrions-nous dire, car aujourd’hui notre bien aimé Dragon Ball effectue son grand retour à la télévision française dans une suite nommée Dragon Ball Super.  Ecrite et supervisée par le maitre Akira Toriyama en personne.

Dragon Ball mis à mal par les bien-pensants

Déprogrammé en 1996 à cause d’une nouvelle loi instaurant un quota de diffusion de programmes français et européens. Dragon Ball Z et le gentil Sangohan sont considérés comme trop violent, le dessin animé fut traqué et chassé de la télévision française par Ségolène Royal qui était alors député et qui a décidé d’en faire sa cible principale dans son livre « Ras le bol des bébés zapeurs ». C’est ainsi que certains mangas archi-connus tels que Dragon Ball Z, FLY ou Ken le survivant qui étaient pourtant déjà bien censurés ont trépassé au profit de nouveaux programmes jugés moins violents.

On peut entendre parler de « Japoniaiseries dans l’émission « Télérama », de dessins animés beaucoup trop violents qui menacent la santé mentale des enfants, traités de dessins animés « pisseux », mal doublés… et on entendra bien d’autres débilités…concernant ce superbe dessin animé qui en fit rêver plus d’un. Cette croisade a eu raison du « Club Dorothée » qui diffusait une masse de dessins animés sur TF1 qui ont bercé notre jeunesse. Pour exemple, à cette époque, on ne voyait pas directement le bras de piccolo se faire couper par Raditz, Pas de bras coupé pour Tenshinhan contre Nappa, et bien d’autres scènes ont été censurées (on ne voyait pas mais on pouvait comprendre la scène) MAIS ON NE VOYAIT PAS !!! Tous ce gratin estime donc qu’un enfant ne peut pas faire la différence entre un enfant à queue de singe venant d’une planète n’existant pas, et la réalité. Ce genre de fantaisies sont les mêmes que bien d’autres histoires mythologiques.